Avant-propos : surtout, ne voyez dans ce titre qu'un des mauvais jeux de mots dont je suis coutumier (si vous avez un doute, rapprochez-vous de mes amis de Flandre 40ème qui corroboreront mon propos) et qui ne satisfont que moi. Ce qui suit n'a donc que partiellement rapport avec l'intitulé de ce blog (bien que l'orateur dont il est question soit, bien sûr, un homme honnête, intègre, exigent, rigoureux et respectueux d'autrui...).
Quand on est adolescent, en dehors de la fameuse crise liée à cet âge, on peut avoir des rêves qui se réaliseront… ou pas. C'est aussi l'époque où les parents sont nuls, ne comprennent rien (attendu qu'ils n'ont pas été ado, eux ?) et que c'est bien mieux chez Tartempion ou Machinchose qui, eux, ont des parents sympas et cools qui les laissent tout faire...
Il est des slogans publicitaires qui marquent.
Si je vous dis qu’elle « ne s’use que si l’on s’en sert », « À fond la forme », « Parce que je le vaux bien », « What else ? », « Un …biiip… et ça repart », « On se lève tous pour …biiip », « Avec …biiip…, je positive » ou « Dubo, dubon, …biiipbiiipbiiip… », ne me dites pas que cela ne vous évoque rien (N.D.L.R. : vous ne seriez pas crédibles).
Il en est un autre (je parle de slogan) qui a marqué les esprits alors que la marque était encore peu développée en France, c’est celle apposée sur la lunette arrière de certains véhicules automobiles à quatre roues (ou plus), à l'exclusion des camions, autobus, autocars : « My Toyota is fantastic » (« Ma Toyota est fantastique » en français [N.D.L.R. : traduction à l’attention de Jean-Pierre qui honnit les anglicismes… et est peu familier de la marque dont il est question aujourd’hui]), slogan né dans les années 1990.